[RPG] L'appel de Cthulhu ::..

Le jdr plateau, ce mâle que l'on connait si mal.
JDR en préparation : aucun
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Hébus
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[RPG] L'appel de Cthulhu ::..

Message par Hébus » dim. juil. 09, 2006 6:14 am

Bon, je sais l'heure est tardive, mais ayant encore un peu de caféine dans les veines sous "le premier effet kiss cool" (référez-vous en au piaf quand à la signification), j'en profite pour pondre ce topic à chaud afin que la partie de "l'appel de Cthulhu", commencée chez Wilmus hier soir, ne tombe pas dans les oubliettes et puisse être continuée sur IRC. En espérant, en cas de succès, qu'elle engendre des petits frères (perso pour l'instant je trippe plutôt bien).

Ce que je suggère donc est que les "invités" de cette soirée spéciale publient ici les caractéristiques de leur personnage, leur personnalité, et la façon dont ils ont vécu l'histoire (qui n'est pas toujours la même selon les persos !), ceci afin que le Calim ainsi que nous même sachions où nous en sommes etpuissions reprendre le plus fidèlement possible où on s'en est arrêté, comme s'il n'y avait jamais eu d'interruption...


De ce fait, ayant encore en mémoire ce qui s'est passé, je montre l'exemple et couche tout tant que j'y pense encore !


Nom: Willy O'Hara
Profession: videur de boîte de nuit
Age: 40 ans
Sexe: masculin
Nationalité: Irlandais, devenu citoyen américain depuis un peu plus d'une dizaine d'années.

CARACTERISTIQUES :
FOR: 18
CON: 15
TAI: 15
DEX: 12
APP: 9
SAN (santé mentale): 45 (note de l'auteur,: issu de calculs). Niveau actuel : 43
INT: 11
POU: 9
EDU: 12
Idée: 55
Chance: 95
Connaissance: 60

Points de vie: 15 au départ (actuellement: 15 après moult yoyos)
Poinst de magie: non applicable

COMPETENCES:
Bloquer (DEX x 2): +30
Conduire engin lourd (01): +50
Esquiver (DEX x2): +40
Grimper (40): +20
Lancer (25): +30
Persuasion (15): +50

ARMES de coprs à corps:
Coup de poing (50): +70
Lutte (25): +60


Description et Histoire:
Willy O'Hara est le prototype même de deux "clichés" courramment répandus: celui de l'armoire à glace et celui de l'Irlandais.
Armoire à glace car mesurant pas loin de 2m et d'une largeur également impressionnante (dans une époque où la norme était de 1m65 à 1m70), il est également muni d'une véritable force de taureau qu'il sait parfaitement utiliser, ses coups de poing semblant pour bien des mortels comme un contact frontal avec un train de marchandises, se débrouillant tout à fait au combat de type corps-à-corps et d'une force de persuasion suffisante pour qu'un quidam qui ferait face à lui dans une de ses phases de auvais jour commence par l'appeler "Monsieur".
Irlandais type car d'un tempérament impulsif, pour ne pas dire sanguin, il est également de mentalité plutôt crédule et croit fermement à tous types de légendes locales ou natales comme celles que l'on lui racontait lors de son enfance en Irlande. pour lui, les sorcières, les fées, les démons et autres sont une réalité depuis toujours incontestable et suscitent en lui une peur quasi incontrôlable. C'est également un catholique fervent et croit fermement aux valeurs morales d'une éducation traditionnaliste. Il semble regagner en force morale en priant Dieu, la sainte vierge et (surtout) Saint Patrick, protecteur de tous les Irlandais.



L'aventure commence pour Willy O'Hara alors que (jour de chance ?) il n'a pas à travailler au night-club ce soir. C'est jour de congé, son collègue le remplace et il prend pour le coup tout son temps pour écrire une lettre à sa famille restée en Irlande, qu'il chérit. Sa quiétude va néanmoins être troublée par le premier évènement d'une longue série qu'il n'est pas près d'oublier: une explosion, d'origine en premier lieu mystérieuse, manque en effet de l'envoyer rejoindre Saint Patrick. Sautant in extremis par la fenêtre, il en réchappe mais la chevelure roussie et complètement groggy. Encore complètementhagard, il suit sans résister la police locale lorsque celle-ci l'invite à le suivre au commissariat.

Là-bas, il fit la connaissance de ses deux futurs compagnons de route, Johnny Smith, un jeune "artiste" dont la moralité des plus douteuses sucita immédiatement chez lui la plus vive des animosités et un détective privé du nom d'Andrew (-désolé Vilmus, j'ai oublié le nom de Famille-). Seul point commun reliant ces hommes: tous furent victime d'explosions encore inexpliquées.
Le commissaire lui fit passer alors l'interrogatoire: questions de routine, pas d'ennemis connus en-dehors des pouilleux qu'il virait plus ou moins régulièrement du night-club et non, Monsieur, je suis un honnête citoyen et je ne stocke pas d'explosifs chez moi !
Après checking médical, il fut finalement libéré, ou plutôt les forces de l'ordre décidèrent de relâcher l'attention sur lui et ses compagnons. Alors qu'ils taillèrent le bout de gras, les trois conclurent que la meillure des choses à faire pour le moment était de retourner à leur domicile (ou plutôt ce qu'il en reste) et de récupérer leurs derniers effets personnels.

Alors qu'ils sortèrent du poste de police, ils furent abordés par un journaliste sensationnaliste, - ... -, qui au milieu de son interrogatoire harcelant (dont il ne recut aucune réponse vraiment exploitable), lâcha que des attentats de ce type continuaient de se perpétrer dans la ville, faisant une quatrième victime, et que le riche industriel local, - ... - n'y serais pas étranger, l'intéressé séjounant sur son lit d'hôpital sous perfusion.
Décision fut prise de lui rendre une petite visite malgré son état, après le passage par la case domicile. Pour O'Hara, ce ne fut pas une mince affaire. Traversant le cordon de sécurité établi autour de ce qui restait de sa maison, à peine en ressortit-il qu'il fut agressé par un homme passant en trombe qui tenta une attaque au cocktail Molotov. Tout partit définitivement en fumée et des cendres lui provoquèrent de légères brulures. Contre son gré, il repassa au commissariat où la fine équipe fut reconsituée. Devant la tournure des évènements, le commissaire prit la décision des les assigner en résidence surveillée, dans un hôtel crasseux mais semblant représenter un lieu sûr.
Dissertant sur leurs situations respectives, la décision d'aller cuisiner ce fichu industriel se confirma et la visite de l'hôpital devint instantanément leur premier objectif pour le lendemain.

Première nuit de sommeil.


Willy fit un rêve étrange: coincé dans un tunnel tout juste suffisant pour sa stature hors-normes, de la terre en éboulement le poursuivait et il n'eut d'autre choix que de progresser dans le boyaux, se retrécissant sans cesse. Arrivant en bout de course, il ne peut empêcher le fait de se faire enterrer vivant...et de se réveiller dyspnéique et pris de violentes courbatures. Ses brûlures, néanmoins, avaient totalement disparues !

Ses compagnons de route semblèrent également avoir passé une mauvaise nuit. Tous ne perdirent pas pour autant leur objectif, l'hôpital: ce qui supposait que le cordon policier les laissat passer, ce dont ils n'étaient pas particulièrement disposés à faire. Le commissaire, les mains dans les poches, se résigna finalement les laisser partir, sans autre forme de procès ou d'explication.
Direction l'hôpital: là-bas, le médecin leur informa que -...- avait quitté la chambre (note de l'auteur: alors qu'il était à l'article de la mort encore la veille) et était parti sans laisser de nouvelles. Willy eut beau secouer le médoc et attirer les foudres du personnel sur l'équipage, rien n'y fit.
Ils ne mirent néanmoins pas longtemps à savoir où habitait leur cible: l'industriel habitait forcément le quartier bourgeois, à 30 minutes de marche seulement d'ici, et étant le plus riche, il devait proportionnellement avoir la demeure la plus cossue de ce même quartier: l'immense villa d'architecture victorienne.
Tout le problème restait à y entrer : première tentative, le groupe sonna à la porte. le majordome leur fit comprendre que Monsieur ne recevait personne. Après un tour du pâté de maison, il semblait qu'il n'y avait pas d'autre moyen de pénétrer dans la place.
Deuxième tentative, utilisant la méthode dite "à l'Irlandaise": le majordome eut l'immense privilège de savoir ce que faisait quatres phalanges d'une muraille de Chine abattues sur le minois d'un américain de stature moyenne, et prit en récompense un long voyage au pays des songes. Le corps soigneusement planqué, il laissa son camarade enfiler ses vêtements. Le trio se dirigea vers la villa pour commencer leurs investigations: dont le seul et unique résultat fut de donner l'alarme via une servante apeurée.
Ils attendèrent alors que la nuit tombe.
Ceci fait, ils parvinrent à repénétrer dans la place, faisant un passage aux cuisines pour casser la croute. Leurs pérégrinations les menèrent cette fois à des résultats plus probants, et une première vraie séquence d'émotions fortes. Ayant trouvé un passage menant en sous-sols, ils décidèrent de venir y faire un brin d'exploraion, sur l'insistance de Willy qui avait entendu peu avant des bruits de griffement indiquant la présence de souterrains. Ils se retrouvèrent alors face à une sorte d'abomination dont ils ne purent expliquer la nature. Curieusement, Willy, le plus sensible, fut le seul à garder un semblant de calme. Ce qui ne dura pas longtemps: dans un élan tout Irlandais, il fonca tête baissée et se rata lamentablement, laissant au monstre une occasion inespérée de lui infliger les pires souffrances: mordu au mollet jusqu'à l'os, il parvint néanmoins à s'enfuir au prix de lacérations dans le dos et d'une énorme séance de frayeur qui cette fois parvint à entamer sa santé mentale. Ses compagnons ayant déjà quitté la place, il se décida à en faire de même mais moins rapidement, ce qui lui laissa l'occasion de dévisager une dernière fois cette abomination...et de lui trouver un air de ressemblance avec le propriétaire des lieux des plus troublantes !
Sa course l'amena finalement jusqu'à Johhny Smith, dont les talents de secouriste le permirent à dafaut de totalement le soulager, de le rendre à nouveau "opérationnel". Le groupe se réfugia pour la nuit dans le premier abri "sur" venu, une église, abandonnée mais faisant somme toutes l'affaire.

Deuxièpme songe de notre ami Willy.
Celui-ci apparut cette fois dans un entrepôt dont les murs étaient lardés de cadavres, constituant ainsi un atroce spectacle. Derrière lui, une créature squelettique le dévisagea atrocement. Willy se réveilla finalement avec une énorme douleur, comme si la cage thoracique venait de lui être arrachée...mais avec toutes ses plaies définitivement guéries.

Au réveil, chacun partit de nouveau de son côté, ayant des idées différents sur la suite à donner à ces évènements. Lui avait en tête une visite chez le journaleux qui décidément semblait en savoir beaucoup trop pour ne pas en avoir dit assez. A son arrivée, il tomba devant un appartement vide, et bien qu'interrogeant longuement son voisin et fouillant l'appartement, il ne recut aucune information exploitable. bredouille, il attendit ses coéquipiers dans un pub en savourant une guiness pour se remettre de ses émotions. "Andy", comme il se plaisait à le surnommer, avait réussi à obtenir un résultat: les explosifs à l'origine des attentats dont ils ont été victimes pourrait provenir du chantier de construction du musée. ce fut donc tout naturellement qu'ils se décidèrent à y rendre une petite visite...
Sur place, ils apprirent que ces dits explosifs étaient gérés par un certain Karl, ce dernier ayant été absent depuis plusieurs jours. Ils parvirnent finalement à obtenir une adresse où se rendre.
Le groupe se sépara de nouveau: Willy, accompagné du détective, choisit de se rendre à la demeure de l'intéressé. Sur place, ils constatèrent que la porte était déjà ouverte et que la maison avait très probablement déjà été visitée et fouillée, le décor étant devenu un véritable chantier (et vlan que je te case une vanne pas fine). Après avoir fouillé à leur tour, ils ne trouvèrent rien...




*suite à la prochaine partie*



Wali waca, j'ai rempli il me semble ma part de taff. A vous les studios ! :o
PS: je ne me rappelle plus les noms des persos et donc ai laissé des trous aux endroits où il fallait les mentionner.
PPS: c'est surement truffé de fautes de frappe mais à 6h11, faut vraiment que je dorme !
PPPS: n'hésitez pas à abonder en précision et/ou à me reprendre !
GOVOU L'ENVOIE EN L'AIR, BENZEMA L'A­ RETOURNE, RIBERY TIRE : ET PUUUTE !

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Hébus
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Message par Hébus » mar. juil. 11, 2006 1:26 pm

Bon ils attendent quoi les autres feignasses ? :o
GOVOU L'ENVOIE EN L'AIR, BENZEMA L'A­ RETOURNE, RIBERY TIRE : ET PUUUTE !

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Message par Milvus » lun. juil. 24, 2006 5:23 pm

Il fait trop chaud pour travailler !
Le Bien et le Mal sont les deux extrémités d'une même rue.

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Message par phoenix-co » lun. juil. 24, 2006 10:50 pm

perso j'attend que les connards de chez FT me refoutent l'ADSL

parce que mine de rien, le 56K, J'EN AI PLEIN LE CUL !!!

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